Valoriser l’existant Prioriser le ré-emploi
Dans un souci de frugalité et de réflexion globale vers la sobriété, nous nous attardons à valoriser l’existant, et favoriser le réemploi.
S’appuyer sur les qualités intrinsèques d’un site que ce soit par ses habitants, son végétal ou sa matérialité, s’avère être toujours un pari gagnant. Il s’agit non seulement d’une démarche environnementale vertueuse, économe et sensible mais qui apporte surtout une satisfaction collective dans la manière d’agir.
Composer avec ce que l’on a
« Agir avec l’existant − et pas seulement « sur » ou « dans » l’existant −, c’est composer avec la ville, les tissus urbains et les bâtiments tels qu’ils existent déjà, tout en prenant en compte la transversalité des enjeux, notamment environnementaux, climatiques ou énergétiques, l’interdépendance des échelles et la question centrale des échéances. » Cycle 2022/2023 du séminaire « Histoire et cultures de l’aménagement »
Le réemploi d’un matériau améliore son impact carbone, réduit la production de déchets et apporte une solution aux problématiques d’épuisement.
Respecter ce principe de durabilité et de non-gaspillage des ressources devient aujourd’hui un véritable enjeu écologique.
Comment FAAR met en œuvre le respect du principe de réemploi et de valorisation de l’existant
La sobriété consiste d’abord à regarder le monde tel qu’il est, avec lucidité, et à déterminer les leviers les plus rapides et les plus efficaces à actionner pour limiter notre empreinte environnementale. C’est donc la démarche à adopter dans tout projet d’aménagement.
Réemploi des matériaux/éléments naturels déjà présents
