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Placer l’arbre comme figure du réchauffement climatique

Dans ce grand défi du changement climatique, nous essayons d’apporter quelques réponses.
En premier lieu, nous portons une attention particulière aux arbres. De par la diversité des sujets et la multiplicité des essences, formes, ils sont une réponse plurielle à divers enjeux.
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Les bienfaits de l’arbre, notamment en milieu urbain

L’arbre est aujourd’hui devenu le symbole du paysage urbain naturel, car c’est un élément visible, remarqué et fortement symbolique. Il est de plus en plus placé au cœur des projets d’aménagement urbain.
En effet, l’arbre joue un rôle inestimable dans l’amélioration de la qualité de vie des habitants :
  • Il favorise la biodiversité

  • Il rafraîchit en été

  • Il filtre la pollution

  • Il créé du lien social

Comment FAAR redonne toute sa place à l’arbre dans ses projets d’aménagement

Redonner sa place à l’arbre passe par la préservation des formations végétales en place, le maintien des milieux et espaces favorables à leur développement, et le choix pertinent des nouvelles essences à implanter.
Dans le cadre de son projet réalisé avec la ville de Châteaubriant, FAAR a réalisé une charte de l’arbre visant à orienter les futurs aménagements urbains vers une vision paysagère cohérente où la réflexion autour de l’arbre et de la stratégie végétale est intégrée au cœur du projet.

Conserver et révéler l’existant

L’arbre est souvent révélateur de la structure des espaces : s’appuyer sur la trame en place – alignements et haies bocagères -, et la prolonger. Utiliser les pièces paysagères comme support des réseaux de promenades. Assurer un continuum écologique entre les différentes entités paysagères qui composent le grand territoire.

Aménager des espaces favorables

Analyser les milieux naturels paysagers environnants afin de retrouver ces ambiances et milieux dans notre aménagement.

Raconter une histoire autour du végétal, du patrimoine et de la biodiversité.

Implanter de nouvelles essences pertinentes

Les espèces locales sont bien souvent les plus adaptées aux sols présents sur le site.

Mise en place d’un plan de gestion différenciée : par ex. 27 arbres existants à conserver/ 123 arbres plantés.

Proposer une palette végétale nourricière, qui permet de fédérer les habitants autour des fruits en général et permettre à la faune d’également en profiter.